J'écris aux gens qui m'ont marqué d'une façon ou d'une autre au cours de ma vie et à qui j'ai au moins une chose à dire. Je ne souhaite pas nécessairement reprendre contact, mais simplement fermer des parenthèses. Si je ne libère pas ces idées, je continuerai à l'occasion de penser à ce que j'aurais voulu dire, et le fait de continuer d'y penser après tant d'années, avouons-le, c'est une perte de temps.

jeudi 20 septembre 2012

Numéro qui rime

Bonjour  C,

Pour te situer, j'ai été ton collègue chez Vidéotron pendant un bref instant. [...]

Je dois te dire une chose que j'ai souvent pensé à te dire, jusqu'à ce que tu partes en congé et que je ne te revoies plus. Je me suis abonné au câble, à internet et à la téléphonie par câble avant mon arrivée chez Vidéotron. J'ai donc téléphoné au service à la clientèle, et c'est toi qui as pris ma commande de branchement, à l'époque. Ça devait être en 2006.

Or, quand est venu le temps de choisir mon numéro de téléphone, tu m'as proposé un «numéro qui rime». J'ai trouvé la formule très charmante, et je l'ai par la suite utilisée à plusieurs reprises quand ce fut à mon tour de proposer des numéros de téléphone à de nouveaux clients.

Je voulais donc simplement souligner que cette expression, un «numéro qui rime», n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd. C'est tout ce que j'avais à te dire.

Au revoir!

A.

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